Éric et moi nous sommes inscrits à un cours de conduite récemment et plusieurs personnes nous ont posé des questions sur les nouvelles dispositions du cours. En fait, c’est simple. Au départ, nous avons droit à six cours théoriques de suite. Par la suite, nous pouvons prendre rendez-vous pour deux leçons de conduite pratique. Lorsque ces deux leçons de conduite sont prises, il ne reste qu’à attendre le prochain cours théorique qui a lieu six semaines plus tard. Lorsque le septième cours théorique est fait, nous avons six semaines pour prendre les deux leçons pratiques suivantes, et ainsi de suite. Au bout de dix mois, nous sommes autorisés à passer l’examen théorique et, au bout de douze mois, nous pouvons finalement participer à l’examen pratique de la SAAQ.
Mon avis
Le cours de conduite se déroule sur une très longue période. Il faut donc s’attendre à obtenir son permis de conduire au bout de treize longs mois.
De plus, les leçons de conduite sont espacées. Les moniteurs nous ont expliqué que nous devrions pratiquer pendant plus de cinquante heures avec un accompagnateur pour pallier au manque de pratique entre chaque leçon. Cette méthode peut sembler bonne en théorie, mais elle l’est moins pour les jeunes adultes qui n’habitent plus avec leurs parents ou pour les jeunes dont les parents s’attendent à ce que leur jeune sache conduire au bout de cette année. En effet, le rythme lent du nouveau cours de conduite OBLIGE l’apprenti conducteur à trouver un accompagnateur qui pourra l’aider à se pratiquer. Étant donné que beaucoup de gens sont craintifs à l’idée de prêter leur voiture à cet exercice, ce pré requis n’est pas toujours évident à remplir.
Pour avoir confiance et améliorer sa technique de conduite, un apprenti conducteur a absolument besoin d’un accompagnateur, au risque d’être nerveux et de faire des fausses manœuvres qui compromettront son apprentissage.
Enfin, les cours théoriques misent davantage sur la morale que sur le code de sécurité routière, ce qui s’applique plus aux adolescents qu’aux adultes réfléchis qui veulent obtenir leur permis de conduire.
De plus, les leçons de conduite sont espacées. Les moniteurs nous ont expliqué que nous devrions pratiquer pendant plus de cinquante heures avec un accompagnateur pour pallier au manque de pratique entre chaque leçon. Cette méthode peut sembler bonne en théorie, mais elle l’est moins pour les jeunes adultes qui n’habitent plus avec leurs parents ou pour les jeunes dont les parents s’attendent à ce que leur jeune sache conduire au bout de cette année. En effet, le rythme lent du nouveau cours de conduite OBLIGE l’apprenti conducteur à trouver un accompagnateur qui pourra l’aider à se pratiquer. Étant donné que beaucoup de gens sont craintifs à l’idée de prêter leur voiture à cet exercice, ce pré requis n’est pas toujours évident à remplir.
Pour avoir confiance et améliorer sa technique de conduite, un apprenti conducteur a absolument besoin d’un accompagnateur, au risque d’être nerveux et de faire des fausses manœuvres qui compromettront son apprentissage.
Enfin, les cours théoriques misent davantage sur la morale que sur le code de sécurité routière, ce qui s’applique plus aux adolescents qu’aux adultes réfléchis qui veulent obtenir leur permis de conduire.
Conclusion
Heureusement, Éric et moi avons trouvé quelques âmes assez généreuses pour nous faire conduire. Nous serons donc un peu moins rouillés lors de notre prochaine leçon de conduite!
Au moins ce soir c'était moins des cours de morale de conduite. :-)
RépondreSupprimerEn tous cas, c'est gentil de la part des gens qui nous aident, grâce à eux on a eu trois pratiques! :-)
Ouiiii! Vive nos amis :)
RépondreSupprimer